Xavier Cafeine
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The best kept secret in music

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This band has no press

Discography

Still working on that hot first release.

Photos

Feeling a bit camera shy

Bio

A pioneer of Quebec¹s alternative culture, Xavier Cafeine is the first one
surprised when his first album, Mal Eduqué Mon Amour, becomes a classic of
Quebec¹s punk culture, raising him to cult like status. His second effort,
Pornstar, a bilingual album this time around, meets the same success and
reaches an Anglophone audience. A few gigs at Much Music and the cover page
of Toronto¹s NOW help the band catch the « majors¹ » attention, and it is
distributed by Universal that Xavier launch a new Anglophone project, Poxy,
in 2004. This album is much more refined (the producer Phil Electric¹s
touch) and, as the first 2, it rapidly becomes a critical success. It is his
desire to renew with his francophone roots that will drive him to work on
another French project, which will surprise many in 2006.

With his new Album ³GISELE², Xavier Caféïve brings us into his world of dark
melodic humour. Gisele was produced and mixed by Glen Robinson, and with 4
tracks mixed by Gus Van Go. Xavier¹s incredible style comes through in his
lyrics and music, he sang & played practically all the instruments on the
album but did surround himself with a couple of his talented friends for
some artistic collaboration, Michel ³Away² Lagevin on drums and the
beautiful voices of the sisters Mc Garrigle. Peotic, vivid and bright,
this album will mark the return of Caféïne.

À vingt ans un garçon, c’est toujours un peu nul. Et à 30 ans? Ça fait des albums comme Gisèle...

Après cinq ans passés à la barre du groupe Caféïne, puis deux aux commandes de Poxy, huit au total à sillonner les salles québécoises et ontariennes tantôt comme DJ (Café chaos, Saphir, Escogriffe...), tantôt comme musicien d’accompagnement (Plastic Bertrand, The Electric Brains, Cacao People, Paradise, The Funeral Kids...), le chanteur et multi-instrumentiste montréalais Xavier Caféïne livre enfin l’album qu’on espérait de lui: abouti, dense et éclectique, mais aussi indécrotablement fougueux et dans ta face que ce qu’il nous a servi dans le passé. «C’est le premier album que je fais qui me ressemble vraiment», commente le principal intéressé, qui a co-réalisé l’album avec le calibreur émérite Glenn Robinson (The Tea Party, Voïvod, Grim Skunk...) et y a joué de tous les instruments. «J’ai vraiment voulu repousser mes limites musicales, explorer un spectre plus large. Rentrer tout ce que j’aime sans être pris dans cette espèce de cloison qui me suivait avec mes anciens groupes. On a souvent donné des appellations à ma musique: garage, glam, punk, whatever... J’ai toujours trouvé ça un peu réducteur. Moi, je suis un musicien d’abord et avant tout! Ça veut dire que j’ai le droit de faire des choses qui ressemblent à du Talking Heads, aux Pixies ou à Napalm Death si je veux!»

Premier effort solo officiel, bénéficiant de la touche magique de l’ex-Me, Mom & Morgentaler Gus Van Gogh (The Stills, Priestess, les Vulgaires machins) au mixage de quatre titres («Cette ville», la pièce-titre, «Le Feu» et «Les Corbeaux»), Gisèle n’est pas complètement un nouveau départ non plus pour l’artiste. Après tout, lorsqu’il a ressurgi avec les ébauches de ce nouveau matériel francophone, aux FrancoFolies 2005, c’était bel et bien sous le simple nom de Caféïne. Xavier rappelle que puisqu’il a toujours tout composé et décidé au sein de ses groupes, c’est du pareil au même. «On peut dire Caféïne, on peut dire Xavier Caféïne, au choix. J’ai identifié l’album à mon nom pour bien faire la coupure avec le passé mais ça reste la même chose.»

C’est en s’attaquant au second disque de son projet anglophone Poxy (la suite d’Artificial Pleasures, lancé en 2004), alors qu’il croyait avoir tourné pour de bon la page sur l’ère Caféïne (qui a laissé derrière lui les albums Mal éduqué mon amour, 1998, et Pornstar, 2000), que Xavier a renoué avec son côté francophone. «Je me suis soudainement remis à avoir des idées de textes en français. Quand j’ai eu une couple de chansons de terminées, je me suis dit «wow, c’est parfait! C’est exactement le son que je recherche!»», raconte Xavier. Début 2005, les FrancoFolies lui proposent de donner un concert, lequel se donne le même été devant une foule de jeunes et de moins jeunes qui se souviennent des chansons de Mal éduqué mon amour par cœur. «Je me suis dit: «ok, c’est ça que je fais!»

Tandis que Xavier compose son nouveau groupe live d’un assortiment d’anciens membres de Caféïne et de Poxy (Pat Naud à la batterie, Éric Sonic et Alex Crowe aux guitares) et d’un ex-Snitches (Ghislain Chartier, aussi membre de The Call Up), c’est presque seul avec Glenn Robinson qu’il s’enfermera en studio, en mars et avril 2006, aux studios Le Plateau et Multi-son à Montréal. Seuls Pat Naud et Michel Langevin (Voïvod) seront appelés en renfort pour quelques pistes de batterie, ainsi que deux invités inattendues aux chœurs: les Soeurs McGarrigle, qui accompagnent Xavier sur sa reprise rock de leur classique «Cheminant à la ville». «Quand je fais des cover