THE ATOMIC BOMB
Montréal, Quebec, Canada | INDIE | AFM
Music
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Qu'est-ce que c'est?
C'est le premier album éponyme et le troisième album de Konflit Dramatik. Ce n'est pas un hasard si après avoir fait deux disques, le groupe donne simplement le nom de Konflit Dramatik à son troisième effort : il a l'impression d'avoir finalement découvert son "vrai" son.
Transformation, mutation?
Les membres de Konflit Dramatik réussissent ici un tour de force : se transformer sans se dénaturer ou se trahir. Ils ont aussi gardé ce petit côté engagé, avec des textes qui parlent d'environnement ou de politique. Une des forces de ce disque est sans contredit le jeu au piano de Christian Berthiaume qui apporte richesse et subtilité à l'album.
Presque parfait?
Pas tout à fait, on a parfois l'impression d'écouter deux disques différents. Surtout quand on passe d'une pièce en anglais, toute guitare devant, à une pièce en français, tout en subtilité. C'est à se demander si Konflit Dramatik ne devrait pas faire deux albums, ou enregistrer sous un autre nom les pièces en anglais. C'est tout de même un disque musicalement touffu, bien produit, avec quelques bonnes pièces originales qui gagnent à être écoutées plusieurs fois pour révéler toutes ses subtilités. - Bande à part.fm (Radio-Canada)
Konflit dramatiK, c'est maintenant quatre musiciens sur scène à la recherche d'un son qu'on ne peut qualifier que de tripant, expérimental ou bizare, selon l'âge du spectateur.
Ils étaient cinq sudburois et ont marqué la scène musicale franco-ontarienne avec leur rap-métal énergique. Aujourd'hui, à quelques semaines du lancement de leur dernier album, The Morgue, ils sont à terminer une tournée éreintante de la province, 21 spectacles en 26 jours.
L'un d'eux se déroulait au Centre culturel d'Orléans la semaine dernière, alors que Konflit dramatiK a conclu la saison d'improvisation de la Ligue du MIFO avec un concert.
Sur scène, ils sont tellement habillés de noir qu'on aurait pu dire qu'ils sont influencés par The Cure - si seulement leur public cible était né alors que cette formation alternative prenait sa place sur la scène musicale britannique.
Les premières minutes d'une de leurs compositions, Désordres, rappellent les belles années de Genesis, au temps où les claviers de Mike Rutherford étaient au premier plan. Puis, par sa partition de basse, la chanson a glissé vers un industrialisme musical digne de Skinny Puppy.
"Notre prochain album, c'est du rock psycho, progressif, expérimental. C'est beaucoup plus expérimental, c'est un trip musical", confie le chanteur Christian Berthiaume.
Pour Konflit dramatiK, la musique expérimentale n'est pas un festival du multipiste à la Mike Oldfield avec Turbular Bells. Leurs chansons sont composées hors-studio, puis enregistrées d'un coup. Cela a l'avantage de créer des chansons qui se transposent très bien sur la scène.
"Le public va les apprécier en spectacle", note Christian Berthiaume. Selon lui, ceux qui ont suivi le groupe depuis ses débuts, il y a sept ans, s'adapteront facilement au nouveau son de Konflit dramatiK. "Ce n'est pas une grande transition, on expérimentait déjà avec les claviers."
Le chanteur explique de plus que les nouvelles influences de son groupe sont les formations Primus, Sigur Ros. Des groupes alternatifs qui "ne viennent pas souvent à Sudbury", ironise Christian Berthiaume.
Konflit dramatiK est aussi composé de Josée Poulin, à la guitare, au violon et aux claviers. Pour elle, tourner avec trois gars rockeurs, c'est comme être avec trois frères qui l'achalent et l'adorent. "C'est cool", dit-elle laconiquement.
Cette tournée les a amenés de Sudbury à Longlac, en passant par Hearst et Sturgeon Falls - bref, partout où il y a des jeunes franco-ontariens. Bien qu'elle apprécie le travail de studio, la meilleure partie de la vie de musicienne est le spectacle, partir en tournée. "C'est le fun de voir la réaction des gens à notre musique." - Jean-François Bertrand, L'Express d'Orléans
« Les Sudburois viennent de présenter l'un des meilleurs albums que j'ai entendus cette année, toute tendance confondue. » - Éric Robitaille, animateur à CBON Radio-Canada dans le Nord de l'Ontario
« Le scrotum de la musique franco-canadienne. »
- Jean-Sébastien Busque, Les Pieds dans la marge, Radio-Canada
« Les membres de Konflit Dramatik réussissent ici un tour de force: se transformer sans se dénaturer ni se trahir. Ils ont aussi gardé ce petit côté engagé, avec des textes qui parlent d'environnement et de politique. Une des forces de ce disque est sans contredit le jeu au piano de Christian Berthiaume, qui apporte richesse et subtilité à l'album. [...] ... un disque musicalement touffu, bien produit, avec quelques bonnes pièces originales qui gagnent à être écoutées plusieurs fois pour que soient révélées toutes leurs subtilités. »
- Élodie Gagnon, Bande à part.fm, Radio-Canada
« Je suis sous le choc. Je l’ai pris en pleine tronche. J’ai l’hameçon accroché au palais. Ma plaie de mélomane pulse. Badoum Badoum Badoum. Je l’ai écouté 20 fois en voiture full blast. Le 4e album du groupe sudburois Konflit dramatiK, enregistré à Québec (avec Stef Rancourt), marche et j’en suis soulagé. » - Stéphane Gauthier, Chroniqueur culturel et directeur artistique de La Slague, Le Voyageur Sudbury
« Trois mots. Excellent. Excellent et excellent. Avant, je pensais que Konflit dramatiK était un groupe industrielle, un peu morbide, à la Trent Reznor. Mais, les avoir vu en concert, j’ai démystifié tout ces conceptions et finallement je me suis rendu compte que... Fuck, que c’est bon! »
- David Baeta, Volt, TFO
« Il faut absolument voir le groupe en spectacle pour ses efforts scéniques. S'il travaille son esthétique avec autant d'ouverture que sa musique, ça promet en rebondissements. »
- BangBang! Magazine - Variés
David Baeta, VOLT (TVOntario)
"Three words. Excellent. Excellent and excellent. I used to think that Konflit dramatiK was an industrial band, a little morbid à la Trent Reznor. But having seen them in concert, I've demystified all that and I've come to realise that... Holy fuck, their awesome!"
The Sudbury Star
"If you think all francophone music is the 'gigodon, gigodou' kind, think again."
The Sudbury Star
"Controversy and rebellion is nothing new to Konflit dramatiK, which formed in 1997 with the intent of blending hard rock, rap and Pink Floyd-like concept performance. Armed with guitars and garbed in costumes, the band hits the stage for shows that bring all those elements together in an agressive swirling mix. There isn't much music like this in the francophone rock scene in Canada."
BayToday.ca
"A four-piece progressive rock band with an electronic style very unique to Canada’s music scene."
Needless Productions
"I was pleasantly suprised by their unique sound and intensely energetic live show. I was treated to 40 minutes or so of progressive techno rock music equipped with electronic violin and some very interesting synth work." - english
Konflit Dramatik is an experimental, progressive band that has been playing out of Sudbury since 1997. By incorporating a slew of different influences and instruments, the four-piece group has created a distinct sound best experienced live. The Star talked to frontman Christian Berthiaume while the band prepares for a headlining show at The Townehouse on Friday.
How would you describe the band's sound?
Well, we're producing our fourth album now and every album is a bit different, but this one here, I guess, is more like electro, progressive rock.
Where do you get your influences?
It's pretty diverse. We listen to a lot of older stuff, like Skinny Puppy, and to newer stuff like, it's not as new, I guess, but Primus and Radiohead, Sigur Ros, a lot of those type of bands. A band like Sigur Ros, they don't speak a word of English, but their music still gets out there, everywhere.
Those are a big influence on us.
How has the band's sound changed from album to album?
At first, it was kind of a Rage Against The Machine kind of attitude, on the first album. It started there, it was aggressive, kind of rap-rockish kind of stuff and now, over the years, we've incorporated more instruments. Like now we're using a lot of synthesizer, old analog synthesizers and old vintage keyboards and stuff. So, just that, just the instrumentation and stuff. Now, it's like a blend of a lot of different sounds.
Being such an experimental band, do you ever get concerned that you're going to alienate some of your fans?
Well, I guess the people that have been following us since the beginning, if they're still following and still liking what were doing, I think they get it, you know, I think they see the evolution. I think we've been able to accumulate fans. Every time we release an album, it pleases a different audience, I guess, so it's pretty cool. We always keep adding fans.
On your website, it says "the most interesting aspect of Konflit dramatiK is its capacity for transforming itself without betrayal and denial of its roots." What are the band's roots?
The roots are more, when it comes to lyrics, you know, denouncing injustices of the world, like all that kind of stuff. We've kind of kept that "f-k the man" kind of attitude since the beginning.
Do you think music and politics should mix?
Yeah, definitely. I think if you're a musician and you're not talking about what's going on in the world, well, I don't think you're doing your job, really.
Because, you know, artists are the ones that keep politicians on their feet, on their toes. I think it's important. It's like the perspective, you know, an artist, they'll usually write a song about they way people feel and stuff, so I think its important.
Was it hard to find like-minded people - musically and politically? Well, a lot of members have been through the band over the years. You know, at first we were a five-piece and now we're a four-piece and a couple members changed. We've been the same four piece for about three years now.
Your website also said that the band's new flavour is best appreciated on stage - what's a live show like?
We like to surprise the crowd. We like to incorporate little theatrics during the show sometimes. Sometimes we'll do a show, we'll prepare a concept show, just for that one show, and then we'll never do it again, that kind of thing. So, you know, you can come out to a show and you'll see it and you'll never see the same show twice. - Garett Williams, The Sudbury Star
"Their latest album, Morgue, takes some distance with the rap and rock marriage that had gotten the group attention, in order to explore a whole different musical style. The four musicians give us there most experimental and interesting album yet." - Élodie Gagnon, Bande à part.fm, Radio-Canada
View the full critic in French from Bande à part.fm here: http://bandeapart.fm/critiques.asp?id=226 - CBC/Radio-Canada
J’ai besoin d’une douche froide
par Stéphane Gauthier, pour Le Voyageur
Je suis sous le choc. Je l’ai pris en pleine tronche. J’ai l’hameçon accroché au palais. Ma plaie de mélomane pulse. Badoum Badoum Badoum. Je l’ai écouté 20 fois en voiture full blast. Le 4e album du groupe sudburois Konflit dramatiK, enregistré à Québec (avec Stef Rancourt), marche et j’en suis soulagé. J’avais peur de trouver certains tics qui m’agaçaient et donnaient un petit vernis pas fini à une belle aventure qui a commencé il y a 10 ans (déjà!)
Depuis samedi dernier, l’album rampe sous ma peau avec son imagerie de corps écorchés vulnérables.
«Je ne connais personne qui écoute Konflit dramatiK», me dit en fanfaronnade quelqu’un que je ne nommerai pas.
«Ah bon! C’est qui personne?», que je réponds. Les jeunes du secondaire?
Pure provocation pour que Gauthier morde. Mais drôle de coïncidence. La Slague vient de faire un sondage dans six écoles secondaires en posant UNE question : qui voudriez vous voir en spectacle? Eh bien, sur 600 répondants, Konflit dramatiK arrive bon troisième.
J’ignore avec quelle térébenthine le chanteur Christian Berthiaume s’est nettoyé le gosier, mais là c’est ouvert comme un trou noir orageux qui laisse passer une texture vocale juste assez craquante pour gratter ma fibre de révolté contenu. Alors imaginez quand la cage thoracique s’écarte en proie aux hurlements mélodiques : «une douche froide, j’ai besoin d’une douche froide pour me réveiller. Pince-moi. Chatouille mes artères». Puis, Berthiaume redescend la voix en génuflexion : «Someone will love you if you wake up, someone might kill you». J’en braille. Et parce que sa bouche est grande ouverte et articulée, l’accent franco s’écoute enfin sans cette peur de s’entendre. Ouïr «soleille» ou «chaaange» avec la confiance de celui qui terrasse le taureau de notre langue constipée par les cornes me fait «dzire» : enfin, un chanteur franco qui s’assume.
Ma préférée de l’heure : Cerveau volant. Quand je l’ai entendue live au lancement à la Townehouse, je me suis senti glacé et ivre de vent froid. Nostalgie des accents à la Tears for fears? Qui sait ce qui opère dans un moment musical. Je reconnais aussi Sigur Ròs (Uni-vers l’avenir), le côté rough des bands de garage (Frenchip Fries) et même le maniérisme de Bowie (Think Twice).
Il reste malgré tout des traces de texte à la revendication facile (Uni-vers l’avenir) en décalage avec les bijoux de Desbiens (Je t’aime Québec) et Dickson (La mère de toutes les dystopies), puis les mélodies et les arrangements recherchés.
Maintenant, la question qui tue. Si Christian Berthiaume, Josée Poulin (violon, mandoline et guitare), Shawn Arseneau (basse) et Cory Lalonde (batterie) n’étaient pas de la place, est-ce que j’aimerais ça pareil? Prendrais-je même le temps d’écouter l’album d’un bout à l’autre et de le remettre dans le lecteur?
Réponse : tsé la personne-que-je-ne-peux-pas-nommer-ici, je vais lui offrir le CD gratis en disant : «mon garçon n’a pas le droit de dire qu’un nouveau plat n’est pas bon tant qu’il n’a pas pris trois bouchées de son assiette. Écoute l’album trois fois et tu auras droit à ton opinion. Si ce n’est pas à ton goût, c’est vraiment pas grave, Konflit dramatiK est libéré». Konflit dramatiK n’a plus besoin d’être franco-ontarien. Sa plaie est ailleurs. - Stéphane Gauthier, Le Voyageur
Konflit Dramatik présentera un son différent lors de la sortie de son troisième album, Morgue, à la fin mai. Le groupe Sudburois se lance dans une musique plus expérimentale et instrumentale.
«L’album contiendra sept chansons un peu plus longues que d’habitude», mentionne le leader du groupe, Christian Berthiaume. L’enregistrement de cet album a été terminé récemment dans la morgue de l’ancien hôpital St-Joseph, qui abritait jusqu’à tout récemment le Carrefour francophone. Konflit a occupé ce local lors des six dernières années. «Nous avons vécu plusieurs expériences dans ce local. J’y ai même demeuré pendant plusieurs mois avec Jay (Jason Richer). Nous couchions dans des bunkers bed, puis on avait même pas de douche», dit-il. Leur nouveau local est situé dans le gymnase à l’arrière du 20, chemin Ste-Anne.
Konflit Dramatik a enregistré précédemment les albums Hors d’œuvre et Univers Dissimulé. Un nouveau vidéoclip, No Name, a été tourné récemment. - Le Voyageur
A Sudbury-based francophone band will be featured on Quebec television next year as part of a series celebrating francophones living outside Quebec.
The band is just one of a series of local groups who were taped by a crew hired by the Quebec television network TVA.
Caroline Monnet, who is employed by Rivard Productions of Winnipeg, sees herself as an example of the nation-wide francophone community. Even though it is based in Manitoba, Rivard Productions is a francophone company.
"There is a diversity of francophones across Canada, even in provinces you wouldn't think about," she said.
"Sudbury is known for having a big francophone community, but ... there are francophones all across Canada. They have things to say and they're doing very interesting things."
That includes the release of a new CD by the Sudbury group Konflit Dramatik, which just wrapped up a tour of Quebec, playing cuts from the disc to francophone audiences there.
The four-member group has been around eight years, said Justin Belanger, who acts as a bit of an all-around handy man for the band. But recently, a bass player was replaced and their new sound is reflected in the material on the new album, he said.
The self-titled album was produced in Quebec City by Stef Rancourt. Having a film crew with them is not new to the members of Konflit Dramatik. A CBC crew travelled with the band in Quebec. The result of that production is expected to air later this month, said Belanger.
The band is looking to tour during the next few months in support of the album, with engagements in Northern Ontario and Quebec.
"This album, in comparison to the other three recorded, has a maturity about it," Belanger said.
The material on the album comes from the artistic talents of Christian Berthiaume, who tends to work on the music first and then envelopes the lyrics with the band's new sound.
The album definitely reflects the years of work the band has put into its music, he said. "This is really our first real album."
The music got a "really good reaction" from audiences on the tour, he said, with many people "surprised they had never heard of us before."
The material really starts with the music, said Berthiaume.
"I sit there and create a bunch of loops with drums and I'll jam for a half hour on different beats. Usually within the half hour, there is probably at least two or three ideas for full songs in there."
From those ideas, he works on the music and builds off that until everyone in the band has been brought into the process. Then, he brings in the lyrics.
That process has the band members excitedly looking to get back on the road and sharing the excitement with audiences. - Bob Vaillancourt, The Sudbury Star
« Eh oui, l’Ontario cache sous ses Grands Lacs des groupes qui chantent et rockent en français… Konflit Dramatik en est la preuve vivante. Issu de Sudbury, le groupe joue ensemble depuis 1997 et change de style sans peur de perdre des adeptes, avec plutôt la ferme intention de gagner le plus de monde possible à sa cause. Le titre de l’album est venu de l’endroit où il a enregistré ce dernier, la première morgue de Sudbury devenue local de pratique et finalement studio. On parle de musique exploratoire à tendance sombre, qui va dans tous les sens du rock. Si on se fie aux ouï-dire, il faut absolument voir le groupe en spectacle pour ses efforts scéniques. S’il travaille son esthétique avec autant d’ouverture que sa musique, ça promet en rebondissements. » - BANG!BANG!
« Eh oui, l’Ontario cache sous ses Grands Lacs des groupes qui chantent et rockent en français… Konflit Dramatik en est la preuve vivante. Issu de Sudbury, le groupe joue ensemble depuis 1997 et change de style sans peur de perdre des adeptes, avec plutôt la ferme intention de gagner le plus de monde possible à sa cause. Le titre de l’album est venu de l’endroit où il a enregistré ce dernier, la première morgue de Sudbury devenue local de pratique et finalement studio. On parle de musique exploratoire à tendance sombre, qui va dans tous les sens du rock. Si on se fie aux ouï-dire, il faut absolument voir le groupe en spectacle pour ses efforts scéniques. S’il travaille son esthétique avec autant d’ouverture que sa musique, ça promet en rebondissements. » - BANG!BANG!
Discography
2014- M.A.D album
2013-Take Control (They can Try) single
2013-Weed Break single
Photos
Bio
The Atomic Bomb is a new underground duo that collaborates with blacklisted wordsmiths and musicians to create some of the most relevant new music to come out of Canada. They combine the honesty of hip-hop with the violence of rock to create a harsh, low-fi sound, one that is as informative in the context of forgotten history as the present musical landscape. Their two new singles - Take Control (They Can Try) and Weed Break - shows this duality, by layering their new sounds on top of old declassified military videos full of disinformation and awful displays of terror. The M.A.D (Mutual Assured Destruction) EP features these two songs and 6 others, telling the story of unnamed man battling with the mediocrity of daily life and his perceived ability to blow up the world using an American-sized arsenal of nuclear weapons.
The Atomic Bomb is not only a band, but a counterculture movement that seeks to reengage the dialogue of nuclear threat in a modern context. The music acts like their own nuclear weapon, a chain reaction of atomic thoughts that will only terrify if you fear the truth. They reach straight into the heart of the new, future-deprived generation, one that doesn’t inherit a world but a countdown to its destruction, like an atomic football laid out in the New Mexico desert, waiting for a deluge of rain or a snake to set it off. The world doesn’t need any more heroics and it certainly doesn’t need another dose of illusory hope. Like the heroin addict settling happily in a pile of his own shit, the hope junky is a hubris-fated breed that leads the way downward. What the world needs is the cold truth delivered in its elliptical metal casing. What the world needs is The Atomic Bomb. And it will fall from the sky, engulfing everything in its mushroom cloud of love and hate, of truth and death. It is the new shot heard ‘round the world and whether you’re ready for it or not, they’ve got their hand on the trigger.
Long live The Atomic Bomb!
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