SWING
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Ottawa, Ontario, Canada

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Band Folk Pop

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Music

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"La consécration du groupe Swing"

Soir de première hier, à la Maison de la culture de Gatineau.

Le groupe Swing en était à sa première prestation à vie à la salle Odyssée et il n'a pas raté son coup.

Son leader, Michel Bénac avait promis de déplacer de l'air. Lui et ses collègues en ont déplacé et passablement à part cela.

La dernière fois que le musicien franco-ontarien avait foulé les planches de la scène municipale, c'était il y a un peu plus de dix ans, pour le tournage d'un clip avec un de ses premiers groupes.

Cette prestation a mis un terme à une semaine pas comme les autres pour Michel Bénac et Jean-Philippe Goulet. Mercredi, ils ont appris que leur disque Tradarnac était parmi les finalistes au titre d'album francophone de l'année à la prochaine soirée des prix Juno, à la fin du mois de mars, à Vancouver.

Bénac, Goulet et leur comparse, DJ Benzo, un « scratcheur », bidouilleur et merveilleux danseur se sont amenés sur scène avec l'intention de convier le public à un périple sur la route, un « road-trip » pour reprendre une expression du vocabulaire anglophone.

Les lumières de la salle se sont éteintes. Un type passe le balai sur la scène, on peut entendre une chanson d'Édith Piaf et le coassement de grenouilles. La soirée commence.

Pour pièce d'intro, une étonnante version de Born To Be Wild, de Steppenwolf, l'hymne du film de Dennis Hopper Easy Rider avec Peter Fonda.

C'est ça Swing. Son « trad » emprunte largement au folklore, mais il est conjugué à la sauce d'aujourd'hui, avec sa dose de guitares électriques et son maître des tables tournantes. Un son efficace au possible. Pas un spectateur ne s'est plaint du froid polaire, hier soir. Le public ne s'est pas fait prier pour se lever d'un trait à chaque fois que la chanson s'y prêtait.

Si Michel Bénac semblait nerveux quelques minutes avant le début de la prestation, lui et ses collègues ont pu dormir en paix, car ils ont offert un spectacle habilement rodé, sans faille et surtout, enlevant de la première à la dernière note. Bref, le jeudi 4 février a été un soir de consécration pour Swing. Musicalement parfait et le groupe a su tirer profit des capacités inouïes de cette magnifique salle.

Il est difficile de résister à ce genre musical, surtout quand il est bien rendu. Le « trad » électrique, amplifié, en fait peu importe, a ceci de particulier, il est rassembleur. L'approche Swing l'est probablement davantage. Le temps de le dire et le public était déjà conquis.

L'intro passée, le trio s'est dirigé vers Ça va brasser, une chanson au titre révélateur et au rythme encore plus révélateur. La soirée était bel et bien partie et plus rien n'allait l'arrêter.

Swing a ramené l'essentiel de Tradarnac, un disque qui lui a valu sept nominations au prochain gala des prix Trille d'Or. La tête me tourne encore, Rien à perdre et Mon tour, sont parmi les titres revisitées avec énormément d'énergie et ils ont su combler la foule. Mon tour est une très belle chanson. Une ballade où Bénac et Goulet se retrouvent seuls sur scène. On ne peut pas faire autrement qu'apprécier le jeu percutant de Jean-Philippe Goulet à la Telecaster.

Les trois ont repris là où ils avaient terminé en première partie, avec une parodie de Every Breath You Take, de The Police avant d'entamer Belle déboussolée, fort bien accueillie avec le public déjà debout. La cadence n'a jamais diminué et au bout d'un peu plus de 90 minutes, le groupe de festival a su faire place à l'intérieur d'une salle. Et pas n'importe laquelle.

Swing remet ça le 27 février au MIFO. À ne pas manquer.
- Le Droit


"Swing finaliste pour le Juno de l'album francophone de l'année"

Tradarnac de Swing est parmi les finalistes au Juno de l'album francophone de l'année.

Michel Bénac l'a appris hier matin, de la plume d'un de ses bons amis, Mathieu Grainger du groupe Deux saisons.

«Je lisais mes courriels quand soudainement, je suis tombé sur le sien. Il m'annonçait la grande nouvelle, car c'est bel et bien une grande nouvelle. C'est encourageant la reconnaissance du public, mais là, c?est l'industrie nationale qui nous fait un clin d'oeil et on l'apprécie.»

Le temps d'une entrevue et le leader de Swing allait donner un coup de fil à ses parents à leur maison de Vanier. Des parents qui n'ont jamais cessé de l'encourager.

«Ils ont toujours été là et ils le sont encore. À mes débuts dans la chanson, mon père avait transformé un de ses ateliers en salle de répétition et plus tard, il a construit notre première scène.»

Une nomination au Gala des prix Juno, un premier spectacle à la Maison de la culture de Gatineau, jeudi, l'année 2009 s'annonce plutôt bien pour Swing. «C'est une année de premières et elle sera assez folle merci. Le groupe a dix ans et on est bien parti pour ne pas l'oublier.»

Les quatre autres finalistes au titre de disque francophone de l'année sont Tous les sens, d'Ariane Moffatt, L'arbre aux parfums de Caracol Indica, Coeur de pirate de Coeur de pirate et Le volume du vent de Karkwa.

La soirée des prix Juno se tiendra le 28 mars au General Motors Place de Vancouver.

«On va consulter Internet avec l'espoir de se trouver un endroit où dormir. Une chose est certaine, on sera là.»
- Le Droit


"Swing entre dans la cour des grands"

Il y a des moments importants pour tout groupe, qu’il soit métal ou folk. Celui de passer le test du spectacle en salle, de garder le public sur le bout de son siège pendant deux heures et d’offrir autre chose aux sens qu’une chanson après l’autre.
Michel Bénac et Jean-Philippe Goulet ont passé le test facilement, ce soir à la salle Odyssée, où un public de nordistes fan de leur musique trad-pop «blastée» aux rythmes de discothèques les attendaient la bave aux lèvres. Leur fidèle DJ Benzo et son hallucinant breakdancing les a accompagnés dans ce nouveau défi, celui de transporter de la scène extérieure à une salle avec places assises un style vitaminé qui donne envie de danser avant tout.

Eh bien, le trio n’a réussi à garder son public oisif que vingt minutes, le temps de six chansons. Dès que les premières notes de «Au nom du père et du fils et du set carré» ont résonné, la bête était lâchée. Oubliez ça, salle ou pas, les gens ont bondi et se sont mis à sauter comme des fous.

Quand même qu’ils auraient souhaité le contraire, les gars de Swing auraient menti. Énergiques comme c’est pas possible, ils ne peuvent freiner leur contagieuse ardeur et se transforment en l’espace de deux chansons en messie pour ces spectateurs conquis longtemps d’avance. Un public pour qui, beau temps mauvais temps, toit au-dessus de leur tête ou non, la musique de Swing est un gros soleil dont les rayons sont des archets, des guitares et des micros.

Mais la plus belle réalisation de Swing dans ce spectacle mélangeant leurs trois albums, surtout leur dernier, «Tradarnac», est du côté de la mise en scène. On les attendait de pied ferme de ce côté, car oui, bon, ils assurent dans l’interprétation, mais serait-ce aussi le cas dans un endroit comme la Maison de la culture? Forts d’une semaine de préparation à la salle Jean-Despréz, le temps de placer tout leur matériel pour qu’il fonctionne visuellement, Swing nous a concocté un concept propre à chaque groupe: la vie de tournée.

C’est ainsi qu’on part sur la route avec eux, mais diable!, survient une panne d’essence. Pris entre deux destinations, Swing passera le temps dans une station-service où ses plus grands succès se succéderont. Si le duo ne représente pas le sommet de la virilité style «garagiste huileux», l’imagerie et les accessoires en rapport avec les «machines» sont sagement choisis et fournissent une profondeur au spectacle. Que les boys brandissent une clef à molette en courant sur scène ou qu’ils confortablement installés sur deux barils d’huile pour entonner une pièce romantique… Que du bon.

Idem pour les éclairages et les effets sonores, qui enrobent une atmosphère déjà réchauffée par les cordes de Jean-Philippe Goulet, les sparages vocaux de Michel Bénac et les scratchs de Benzo, un véritable artiste corporel. Il se paie d’ailleurs quatre bonnes séances de danse, dont une avec Michel Bénac qui vaut le coup d’œil…

Sans noter cet effort magistral de Swing, car cela serait étiqueter pour rien un groupe qui n’a pas besoin d’attaches, disons que c’est une mission drôlement bien accomplie. Sans se réinventer et obliquer dans une autre direction, Swing a montré qu’il faisait désormais partie de la famille des musiciens capables d’offrir un sacré bon show. Des musiciens qui ont attendu longtemps – 10 ans - pour se payer la traite et qui l’apprécient. Leur réponse n’en est que meilleure. - info07.com


Discography

2007 - TRADARNAC
2003 - LA VIE COMME CA
1999 - LA CHANSON SACREE

Photos

Bio

An experienced musician who loves to get people dancing to the sound of his violin meets an R&B singer just back from Nashville who rediscovers his French roots. Although poles apart at every level, these two individuals succeed in combining their influences to create a new sound, urban Trad. As a result, the group Swing is born. Jean-Philippe Goulet, a skilled musician, then joins in the adventure. With Swing, he rediscovers his traditional roots as he adds his own flavour to the group. Swing evolves. The adventure continues as they perform around the world, creating excitement, and their enthusiasm is always present. This is the passionate journey of two musicians. This is Tradarnac.

1999: the Birth. La chanson s@crée carves itself an enviable place on the hit parade, particularly with the tunes “Un bon matin” and “Ça va brasser.” Michel Bénac’s urban influences and Bobby Lalonde’s traditional sounds blend harmoniously. The unique urban Trad sound of the ten songs on this album spreads across Canada.

2001: Recognition. Swing wins four Trille-Or awards at the Gala de la chanson et de la musique franco-ontarienne. Best new single: “Un bon matin.” Best new group. Best live performance. Best producer. On Canada Day, July 1, Swing gives a stunning performance in front of more than 100,000 spectators, on Parliament Hill in Ottawa; the show is broadcast live. This performance earns them a nomination at the Gemini Awards Gala (2002) in the category “Best Performance or Host in a Variety Program or Series.”

2003: Second album. La vie comme ça satisfies fans’ expectations. Bobby Lalonde passes the bow to Jean-Philippe Goulet. The new Swing appears on several television shows: Le Garage, Belle et Bum, Palmarès, etc. They also participate in the Telethon for Research into Children’s Diseases. Swing embarks on an interprovincial tour that starts at the Festival franco-ontarien and ends at the Festival acadien in Caraquet.

2004: Expansion. At the request of the organizers of the 50th anniversary of the Carnaval de Québec, Swing records two songs on a compilation album, including the title track: “Carnaval, mardi gras.” Then, they embark on a tour of Eastern Europe that takes them to Poland, the Czech Republic, Slovakia, Hungary, and Romania. On their return, more than 150 000 spectators cheer them at the celebrations for Québec’s St-Jean-Baptiste holiday, in Montréal and broadcasted across Canada. After more than 75 shows across the country, the year ends with a nomination at the Gala de l’ADISQ in the category Best Album – Traditional.

2005: The momentum continues. Swing makes a second appearance at the Québec winter carnival, goes on another international tour, this time to South America (Columbia, Ecuador, Panama), and makes a breakthrough in France as part of the Festival Les Déferlantes at Cap-Breton. Once again Swing shines at the Gala de la chanson et de la musique franco-ontarienne taking away three Trille-Or prizes. Best group. Best live performance. Best music video.

2006: The taste of Europe. On the strength of its international success, Swing participates once more in the Festival de la francophonie at Douai and in the Festival de la Virée francophone at Cherbourg. At the same time, Swing begins to concoct its third album.

2007: One more honour. Back from another appearance at the Festival Les Déferlantes (France), Swing is awarded two more Trille-Or trophies: Best group and Best live performance. The whole year is devoted to composing and producing its third album: Tradarnac which has been extremely well received form both their fans and radio station across Canada since its release in November 2007.

2008: SWING walks away with two awards through its participation in Contact Ontarois 2008, namely, Fierté, 10 ans Réseau Ontario, and the Prix Roseq. Their second radio clip Encore une fois is #1 for four weeks running in the POP ROCK charts in March. The song “One Day”, on the other hand, finds itself in the centre of a language scandal on July 1st and makes page one of the big English-language Canadian daily newspapers. The song remains one of the most played in the country and made its entrée on station CKOI FM and the Energie network. A nomination in the “Composer and Lyricist” category in the Canadian Folk Music Awards crowns the end of the year, as well as special participation in comedian Michel Barrette’s DVD, which allows the group to do a remix of the song “Le temps d’une dinde” in duet with Hi Ha Tremblay.

2009: Swing celebrates its 10th birthday and makes its mark again at the Gala des Prix Trille Or with seven nominations, including Best Album, Best Group, Best Show, Best Video Clip and more. The big surprise for 2009 is a JUNO nomination in the category “FRENCH ALBUM OF THE YEAR”.