Curry & Coco

Heat up your weekend by rocking out across Beijing. Coco & Curry are back and at Yugong Thursday night. - The Beijinger (China)

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2011?,??????????????,Curry & Coco?????????—????????????????????,???????Post-Punk????????????????????Curry & Coco??????????????????????Fête de la Musique(?????????)? - www.faguowenhua.com (CN)

Curry & Coco, an inseparable pair since childhood, began making music since 2006 from their hometown of Lille in Northern France, where they are commonly referred to looking like "Croatian tennis players circa 1973." Music-wise, they're reviving the post-punk wave circa late 1970s with the introduction of slaying synths and grinding beats. What do they sound like? With influences from The Human League, Joy Division and The Droids, they are the anti-heroes of French electronic music, running head-first against the wave of the 'popular' sounds we commonly attribute to that region.
They bring what we don't know we crave, real authentic gritty music, a backlash against the almost boring perfection of modern music production. With Pliem on the drums and Przybylski on vintage analogue synthesizers + vocals, they bring along with them an array of old-school aural ammunition. Imagine disco infused with new-wave flavours of electronic pop, a whole lotta kitsch and even more fun to hear. - www.songkick.com

Après s’être fait connaître sur scène, les Lillois et lauréats CQFD de Curry & Coco arrivent enfin avec un premier album synthétique et furibard. De quoi gagner le Nord.

C’est une soirée humide de plus à Lille, et Curry & Coco a donné rendez- vous place de la République. C’est Sylvain le blond qui accueille – Thomas le brun nous rejoindra plus tard. Un peu gêné, on lui explique qu’il nous faut des cassettes audio pour l’interview, il nous répond qu’il lui faut un fer à repasser, ça tombe bien. On se retrouve donc dans un grand magasin d’électroménager à faire nos courses, avec les vannes qui fusent sur cette histoire de cassettes, quand surgit le troisième larron, qui finit de nous achever.

Qu’on se le dise, Curry & Coco est un duo soudé. Sur le chemin qui nous mène du magasin au bar où le groupe a choisi de faire son interview, Sylvain Przybylski et Thomas Priem évoquent leurs origines nordistes sans trop sortir les violons. “On est des mecs des corons, on n’a pas grandi dans des endroits très favorisés, mais ça nous a donné du courage”, explique pudiquement Sylvain Przybylski. Qu’on se le dise, Curry & Coco est un duo fier. Dans le bar choisi par les deux pour recevoir à domicile, les pintes arrivent et on se met à causer musique.

“On a joué avec d’autres gens au départ, mais on s’est vite aperçu qu’il y avait un truc qui fonctionnait entre nous, quelque chose d’assez fusionnel. Nous avons une entente parfaite sur l’écriture comme sur scène, ça ne s’explique pas vraiment mais c’est assez agréable”, résume Thomas Priem avant de laisser la parole à son acolyte. “Nous sommes très complémentaires, Thomas est un fondu de vinyles, et moi je fais très bien la cuisine.”

Qu’on se le dise, Curry & Coco est un duo qui aime la déconne. Sur les références, les deux sont assez d’accord aussi : Joy Division, Devo, The Human League, Cabaret Voltaire ou encore Giorgio Moroder ont fixé le cadre synthétique de leurs élucubrations. Puis ils citent AC/DC, The Clash ou, tout récemment, Oasis (surtout les deux premiers albums des Mancuniens, qu’ils ont découverts récemment), à qui ils empruntent volontiers leur énergie.

Pour l’attitude, ce sera Eddy Mitchell, ouais, Monsieur Eddy. “Il a toujours eu ce truc classe. Je me souviens que quand je le voyais à La Dernière Séance, je le trouvais toujours irréprochable, avec sa petite cravate-lacet. En concert, on a ce truc de vouloir bien paraître, on aime se faire beaux”, explique Thomas, très sérieux. Sur scène, Curry & Coco est d’ailleurs un des phénomènes hexagonaux les plus en vue. A chaque concert, Thomas à la batterie et Sylvain à tout le reste finissent souvent atteints d’une étrange danse de Saint-Guy qui propage la joie.

Depuis plusieurs années, les deux ont d’ailleurs commencé à tourner un peu partout en Europe, profitant avantageusement de l’effet d’aspiration MySpace. “Nous envisageons autant notre musique sur scène que sur disque, et dès que nous avons eu quelques morceaux nous avons commencé à tourner”, confirme Thomas. L’Angleterre, amoureuse des hommes vaillants, ne s’y est d’ailleurs pas trompée en offrant le plus beau des accueils à ces jeunes types de l’autre rive.

We Are Beauty, leur premier album, a logiquement été produit par un Anglais, David Kosten, et mis en boîte à Londres, en quelques jours à peine. “Nous ne connaissions pas très bien la musique de Kosten, mais lui a très vite tout compris à la nôtre. Son apport sur le disque a été déterminant. Il a su canaliser notre énergie et la coucher sur disque, en s’impliquant parfois beaucoup. C’était un véritable régal, David est presque devenu un troisième membre du groupe”, se souvient Sylvain avec un large sourire.

Le résultat final est des plus jouissif. Orgiaque et futuriste, pop et furibard, l’album de Curry & Coco s’écoute d’un coup sec. Il faut vraiment avoir du purin dans les oreilles pour ne pas se le remettre derrière – et devant aussi, d’ailleurs. Du surexcité Who’s Next? à l’extatique Dancing Like a Monkey (que celui qui ne danse pas dessus comme un possédé nous jette la première bière), de l’hyperhéroïque Ultrasonic à Boys from the North, qui devrait ouvrir et conclure chaque match du LOSC, Curry & Coco donne le change avec classe et élégance.

Une base de lancement idéale pour la suite des événements – une tournée générale, en France et ailleurs, en formation commando, avec l’increvable Morggy, ami, souffredouleur et tour manager qui suit Curry & Coco partout. Et qu’on retrouve d’ailleurs à l’autre bout de Lille une fois l’interview achevée, dans un bar où passe le live de The Clash au Shea Stadium de New York. Album live que les deux rejouent assis au bar, à la note près, en mode air guitar, alors que les pintes défilent sous les yeux amusés de Morggy. “C’est cette énergie qu’on cherche”, hurle un peu Sylvain. “Tout est parfait, là”, ajoute Thomas, avant de demander au barman s’il n’a pas un vieux AC/DC qui traîne.

On quittera Curry & Coco après plusieurs albums d’AC/DC j - Les Inrockuptibles (FR)

I know it's getting freezing outside, but we don't have time to let the coldness hold us back. beside the local acts, brave westerners are coming to town to warm up the party season. French duo Curry & Coco suggest peopel to wear nothing at their gig (see our interview with them in the magazine). Get ready to dance hard if you are really going to do so tomorrow night. Yugong Yishan's heating is strong, but probably not that strong. - The Beijinger (China)

Das französiche Duo Curry & Coco gilt als einer der angesagtesten Electro-Acts aus dem franzöischen Lille. Nun kenne ich keinen anderen Act aus Lille, widme mich aber trotzdem der neuen EP der beiden Electro-DJs Thomas Priem und Sylvain Przybylski. „Sex Is Fashion” ist gleichzeitig der erste Track aus dem Debütalbum „We Are Beauty“, das für das Frühjahr 2011 geplant ist. Und das Ding zündet ist. Der Song ist explosiv, die Hookline setzt sich fest. Ein wilder Electro-Knaller. Ähnlich strukturiert ist der zweite Track „Who’s Next?“, der auch durch die beißenden Curry & Coco Vocals auffällt. Beide Nummern sind übrigens nur gut zwei Minuten lang. Daneben enthält die Scheibe nur noch zwei Remixe von “Sex Is Fashion“ – etwas wenig für eine EP, zumal die Mixe weniger auffallen. - http://www.bumbanet.de

Fascinating mix of outstanding pop and severe krautrock, the two brothers celebrate the spousal of Kraftwerk and the Jackson 5 in a sonic orgy. (...)
Together they are the B52's of the 21st century dressed as croatian tennismen from 1975.
They cover Girls Want to have fun from Cindy Lauper to bear in mind their fidelity to MTV's pop music. - Les Inrocks.com

Finally an official single from the machine that kills the dance floors in the North's venues.

For several years, Curry & Coco mistreated the French and European music scenes everywhere where there is a Burger King, spoiled alcohol and unstable electricity.
One can therefore already give them a medal of honor for having put up a strong show in the face of this poor lot, which condemned them to false starts and wrong paths. But that would be a small posthumanous metal for a band so strong, so exciting, so relentless that you should wipe the slate clean and see the first official release as though it is a new beginning.
Not a wrinkle, not a tarnish, not a drop of rancor in these men from the North, who are among the best in class in France. The same young energy, the same incredible spirit, illuminates this single, produced with love - it's faithful to the devastating energy of this band live - by the Brit David Kosten (Bat for Lashes, Faultline,...). Picture the performance: one playing the vintage synthesizer, the other on exorbitant percussion, the natural territory of these beasts; one on the ice flow, the other on the hot blaze, they play ping-pong between Daft Punk and the Jackson 5, robotic rock and MTV pop.
Without that image - which is hilarious and incredible - does their music ring true, like the Autobahn did for Kraftwerk? Certainly yes, my captain, do they respond in a hysterical chorus to SEX IS FASHION and the hymn WHO'S NEXT, which dares to again ask who's turn is it? The immediate response would be "It's our turn, and if you disagree with it then get off the bus."
- Les Inrockuptibles 17th February 2010 / review by chief editor Jean-Daniel Beauvallet

Newest release SEX IS FASHION is an EP that proves this outfits prowess at creating memorable pop hooks amidst the chaos, the title track here a day glo collision of influences and sounds ranging all the way from Giorgio Moroder to Franz Ferdinand to Donna Summer and back again, throbbing synth, programmed beats, infectious choruses and disco samples all present and correct. - http://www.ukmusicreview.co.uk/

As a comparison imagine Damon Albarn singing a Scissor Sisters track on main track 'Sex is Fashion' which beats and bops around for just under three minutes, and leaves you wanting more. - http://www.soundblab.com

“Sex is fashion, so let’s get trendy,” goes a line from a 1980s-sounding song by Curry and Coco.
The French electro-rock duo performs at The Wall in Taipei on Wednesday, along with local indie favorites DJ Spykee Fat and electronica group KbN.
In addition to their synth-pop/punk sound, Curry and Coco will be bringing plenty of ambition, judging from tracks like Who’s Next, in whose chorus the band hollers “Who’s next? We say us!”
Then there are the catchy hooks and anthemic choruses such as “we’re the top of the pop,” which make the duo sound like they’re hungry for genuine stardom in spite of their hipster looks (scruffy beards and messy hair) and tongue-in-cheek attitude.
“Totally, but we always want to keep laughing about us,” singer and keyboardist Sylvain Przybylski wrote in an e-mail interview with the Taipei Times.
“International ambition” is also why they sing exclusively in English, said the 26-year-old, who hails from northern France and formed the group four years ago with drummer and backing singer Thomas Priem.

Disco, new wave and post-punk are a big part of the duo’s sound on its debut album We Are Beauty .
“We wanted to mix those two energies together, disco sensuality and punk rawness,” wrote Priem, 29, who balances the duo’s synth melodies with intense rock drumming. He plays a full drum kit, and makes the band seem like an electronica version of The White Stripes.
Przybylski says their other influences include AC/DC, Blondie, Gang of Four, Serge Gainsbourg, Charles Bukowski and Cindy Lauper.
Priem and Przybylski are friends from childhood, tease each other like brothers in interviews and play up their close connection in their album art and videos as well as on stage. As for the band’s name, Przybylski says they haven’t yet decided who’s Curry and who’s Coco.
But one thing’s certain: the duo is out to have a lot of fun. When asked what their audience in Taipei can expect on Wednesday, Przybylski wrote, “[To] get physical!!”

PERFORMANCE NOTES
What: French indie electronica duo Curry and Coco, KbN and Spykee Fat
When: Wednesday at 8pm
Where: The Wall, B1, 200, Roosevelt Rd Sec 4, Taipei City - Taipei Times (Taiwan)

What a funny sight unfolds in Sylvain Przybylski on his double synthesiser set-up and Thomas Priem bashing his drums to death. With song-titles including ‘Top of the Pop’, ‘Sex is Fashion’ and ‘Who’s Next’, they bring an amount of unreserved eccentricity that is tucked away from the headline hype. - http://www.gigwise.com/

Who are Curry and Coco and what will they bring to Jersey Live 2009? Find out here...

Curry and Coco are Thomas Piem and Sylvian Przbylski, thick rimmed glasses, quiffy hair and a core of pop passion running through their veins.

Their aim in life is to make enough money from music to buy a tour bus and spread the music even further and show the world who is boss.

Pulling together catchy electro pop hooks, funky, funny English language lyrics with a sense of party time – these guys will make even the greyest of rooms get up and move. - BBC.co.uk