Astillero
Buenos Aires, Buenos Aires F.D., Argentina | INDIE
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MODERNAIS ARGENTINAS TANGO „ASTILLERO”!
6. julija festivals „RIGAS RITMI 2012" piedava skarbas avant-garde tango grupas Astillero koncertu Kongresu nama.
Astillero ir viena no vadošajam Argentinas grupam, kas piedava jaunu skatijumu uz tango žanru. Izmantojot klasiskos tango instrumentus - to skaita ari divas bandoneones, tiek raditas originalas kompozicijas, ietverot musdienu pilsetas džunglu noskanu, izjutas, ko var tvert 21. gs. Buenosairesa. Kaut ari grupa centrejas uz modernas vides atainošanu, uzstašanas ir 100% akustiska - radot muziku, netiek izmantotas nekadas elektroniskas paligierices, tikai stigu instrumenti, klavieres, bandoneones un brižiem skarba, brižiem skumja virieša balss.
Pedejo cetru gadu laika grupa jau 9 reizes devusies pasaules turnejas, uzstajusies Montreal Jazz festivala Kanada, North Sea Jazz festivala Holande, Ulsan World Music festivala Dienvidkoreja, Londonas Džeza festivala, Tango festivala Vacija un citur, smeloties iedvesmas ari citu tautu muzikas. 2012. gada vasara grupa plano izdot savu jaunako, nu jau trešo albumu.
Gadu gaita Astillero ir izstradajuši ipašu koncertprogrammu, muzikai pievienojot ari video projekcijas - ta katrs koncerts klust individuals, klausitajiem paversies ipašs Rigas ainai pieskanots tango.
6. julija vakara pirmaja dala Kongresu nama uzstasies Antonio Ciacca Quintet ar programmu „Italian American songbook".
„Nenogurdinošs saspringtas pilsetvides atainojums tango skanas... Astillero piedava patiesu originalitati!" - Froots Magazine
Juti ritmu!
- RIGAS RITMI - LATVIA 2012
Sextet d’avant-garde, Astillero ouvre la voie à un nouveau tango argentin.
Avec audace et une grande maturité artistique, ils entreprennent depuis 2005 ce projet dans lequel il n’y de place que pour de nouvelles créations, instrumentales ou chantées.
Sans gomina ni fioriture, ce tango colle à son époque, à celle des mouvements sociaux argentins, indépendant, loin, très loin des clichés d’un tango commercial et touristique.
A contre courant, ce n’est pas un tango mélancolique, mais énergique, exigeant par sa qualité instrumentale, par la richesse de sa création.
Un tango ancré dans son époque, dans la lignée du tango de Piazzola.
Des musiciens accomplis, animés d’une vision progressive du tango dans une forme classique mais résolument moderne. On les décrit comme les têtes chercheuses du “nouveau tango”. La qualité instrumentiste est déjà évidente lorsqu’on entend jouer les deux bandéonistes, le violoniste, le violoncelliste, le contrebassiste et le pianiste. Un orchestre argentin qui donne un électrochoc au tango grâce à des arrangements novateurs et inspirés qui tendent à dépouiller le style de ses ornements habituels pour n’en garder que l’essence, la violence, la tristesse, la passion, par de brusques, mais calculées, pointes rythmées.
Il s’agit d’une atípica (2 bandonéons, violon, contrebasse, violoncelle, piano, voix) formée par des transfuges de Fernandez Fierro ou Cerda Negra. La particularité d’Astillero, est de ne pas faire référence au tango des grands orchestres typiques d’antan. Et c’est très fort. Aucun tango classique non plus. Uniquement de l’original, du frais, du pur produit de l’ici et du maintenant. Astillero c’est un peu Bartok avec des bandonéons, Stravinsky qui aurait vraiment compris ce qu’est le tango. De l’énergie brute et maîtrisée qui ramponne. L’absence de repère mélodique entraîne le spectateur dans un dédale poétique où la seule alternative est de s’accorder à la force qui vous traverse. C’est un groupe de Lanus, des quartiers pauvres, avec cette ferveur, cette chaleur et cette sincérité débordante des fans des clubs de foot.
Les compositions d’Astillero reflètent les incongruités et la folie de la jungle urbaine du Buenos Aires d'aujourd'hui, le rythme nous frappe comme une vague puissante, fait des pauses, repart, rebondit, fait mal, escalade, dégringole, semble s’éteindre puis repart de plus belle, à la manière du monde dans lequel nous vivons.
Le son est puissant, vertigineux, haletant, à couper le souffle, rugueux, sophistiqué : on est entraînés comme sur une montagne russe, emportés par des modulations pianissimos bouleversantes puis précipités dans des plongeons fracassants.
Un son sauvage et brut, authentique, sans artifices, 100% acoustique, le son du bois et des cordes, Astillero propose une vision complètement nouvelle du tango : incisif et intense, rude et violent, témoin d’une vie brûlante, sa musique est la traduction aigue et âpre d’un 21ème siècle urbain en une musique nouvelle qui réaffirme par sa solide construction la fondation traditionnelle du tango de Buenos Aires.
Original, différent, innovant, Astillero donne une nouvelle définition du tango : « Le Tango de Rupture ».
Leurs compositions sont toutes originales, certaines instrumentales d’autres chantées, une renaissance dans un tango du renouveau, dépouillé mais riche, original et dense. La voix est rude mais tendre, à la fois détachée et remplie d’émotion, elle berce, secoue, détruit. Les paroles sans concession décrivent un monde cru et cruel.
Les membres du groupe ont trempé dans le tango traditionnel depuis leur enfance. À l'avant-garde du mouvement appelé "La Maquina Tanguera" des années 90 , mouvement de renouveau du tango contemporain à Buenos Aires, ils ont joué avec des groupes importants de la scène argentine traditionnelle avant de former Astillero en 2005.
Des années d'étude et de recherche ont également mené certains d’entre eux à devenir les enseignants pour la jeune génération tanguera, grâce à leur travail avec un certain nombre d'organisations indépendantes et des projets sociaux, qui proposent une éducation musicale et classique du tango ouverte à tous les jeunes y compris ceux des quartiers défavorisés de Buenos Aires (Escuela de Música Popular de Avellaneda, Conservatorio de Estilos Argentino Galván, Academia Nacional del Tango, entre autres) et depuis trois ans dans leur propre école de musique : Escuela Orlando Goñi.
L’orchestre met en vedette les instruments traditionnels d’un ensemble de tango acoustique :
Julián Peralta piano, Miguel Suàrez voix, Martijn van der Linden violon, Luciano Falcon violoncelle, Mariano González Calo bandoneon, Adolfo Trepiana bandoneon, , Federico Maiocchi contrebasse.
Les sept musiciens d’Astillero sont accompagnés d’un vidéaste, Alejandro Diez qui vient compléter le concept de ce groupe, allant au-delà de l’événement musical, ses images vidéo tout aussi politiques que poétiques sont projetées pendant les concerts - Juliette Iglier, Paris, France, 2010
http://www.youtube.com/watch?v=iuwU17D631g
http://www.youtube.com/watch?v=ZlYw8A2J6tQ
http://www.youtube.com/watch?v=2tsdCVZpdno
http://www.youtube.com/watch?v=v3scxfTwuBc
http://www.youtube.com/watch?v=RZzajTutpc4
- Intervieuw
Het volgende filmpje van de tango-groep Astillero. Dit filmpje komt weliswaar niet van de Womex, maar draagt toch de virtuositeit en souplesse in zich. Ze laten hun muziek ’slaan’, ’schoppen’, ‘breken’ en ‘bewegen’ net zoals Buenos Aires; zo zeggen ze zelf. Nieuw gecomponeerde tango’s van dit fenomenale octet uit Argentinië!
- http://womex.radio6.nl/feed/
http://www.jazzpodium.com/pivot/entry.php?id=754´
ORQUESTA ASTILLERO - SUFRIR, AMAR Y PARTIR (LIJDEN, LIEFHEBBEN EN VERTREKKEN)
Rasa, Utrecht - zondag 16 november 2008
door May Peters met beeld van Hans Speekenbrink (klik voor vergroting)
In een bijna volle zaal begon Orquesta Astillero aan haar laatste optreden van dit jaar. Het slotconcert van een reeks van 23 binnen een maand. Deze verrassing van het Womex (World Music Expo) te Sevilla vloog na Sevilla naar het Jazz Festival te Montréal, via Frankrijk naar de domstad. Alle emoties losscheurend beloond met staande ovaties. Utrecht zou daarin geen uitzondering zijn.
Na zo’n tour ben je natuurlijk op elkaar ingespeeld. Astillero is een groep van jonge twintigers/dertigers die zich identificeert met tango. Het septet werd opgericht in 2005 om de tango weer op zijn originele plek terug te krijgen, n.l. de cultuur van Rio de la Plata. De groep werd aangevuld met videast Leandro. Hij zette met zijn plaatjes uit de hoogtijjaren van de tango, de jaren ’30 en ’40, de ‘toon’. De zware industrie, de scheepswerven: Astilleros in Buenos Aires, King Kong en het communisme fungeren als achtergrond.
Zanger Peyo zegt dat het moeilijk is om rond drie uur ’s middags tango te spelen, terwijl hij over de rand van zijn hoed wrijft. Tango spelen én luisteren is je overgeven aan het vuur, de heftigheid van emoties. Hij verontschuldigt zich in heel slecht Engels en zegt dat hij een beetje zenuwachtig is. Zijn vrouw is namelijk gisteren bevallen van hun eerste kind… En meteen hoor je de zaal meelevend slaken: “Aaaaaahhh maakt niet uit jongen, we kennen jouw gevoel.”
Astillero is eigentijds en de koploper van de Tango de Ruptura. Dus worden tradities en harten opengebroken. Pianist Julian Peralta vertelt dat het een tijdje duurde voordat ze zich comfortabel voelden met de renovatie van de oude meesters uit de jaren veertig. Dit mondde uit in het componeren van eigen werk. De vruchten daarvan zijn te beluisteren op hun eerste CD Tango de Astillero, die in 2006 uitkwam onder eigen beheer.
Die vernieuwing ís meteen hoorbaar, vooral die dissonanten, het slaan op de bas, de cello en de twee bandoneons, en de alsmaar dreigende, vaak chromatische lijn in een stuwende kandans. Alsof je op een spoorweg station staat, waar de tijd niet stopt en men nimmer terug zal keren. Mensen die nergens vandaan komen, zonder eindbestemming in stilte gaan, in hun eenzaamheid tot het eindstation ‘de dood’. Eins- zwei-drei-vier hoort men hier een SS soldaat? Hoezo videoplaatjes nodig?
Het openingsnummer na de pauze: Andén (perron) illustreert prachtig waar Astillero ook vernieuwend in is. Tekstschrijver en zanger Peyo, met zijn spijkerriem en zwarte spijkerbroek, beschrijft hierin het Buenos Aires van het 3e millenium; een ontregeling van zijn bewoners. ‘Wat zal er worden van mijn geluk?’
Zijn hartverscheurende beschrijving van El Capataz. Een ploegbaas vol angst, die zijn schuld moet aflossen. Vol met poëtische teksten als: “een slechte adem, wel een goede neus hebben.” Ze gaven hem een ander advies: “een hakmes, veel Heiligen en een beetje hekserij.”
Ik sta versteld van het feit dat dit begin dertigers zijn, die je hier op een zondagmiddag de tragedie van het Italiaanse/Duitse immigrantenvolk begin 18e eeuw opdienen. Echt, als de bandoneonisten gebukt over hun instrument schreeuwen in de microfoon meen je met recht opstandige werknemers te horen! Het maakt niet uit of het Nederlandse publiek het maar half verstaat, de dreiging zindert in het theater. De wind krijgt uiteindelijk het zwijgen opgelegd, synoniem voor het leven. De tango gaat over het bewustzijn van de dood. Maar geen dood zonder leven. En dat is ook de warme viool (van de Nederlandse Martin v/d Linden die deze tour inviel en prachtig werk doet!) Samen unisono met de cello en spatgelijk fraserend vertolken zij perfect: ‘verlies van liefde en de dood.’ Het fatalisme begint al in de titel: ‘Diamanten die verroesten’.
Videast Luciano vertelde me dat hij zich meteen identificeerde met tango op het moment dat hij de musici van Astillero leerde kennen in 2005. Hij denkt in beelden. De ambiance heeft wat weg van de tijd waar er nog een orkest voor het doek van een doof-stomme film zat te spelen. Ook al vond ik het zelf vaak te betuttelend. De klanken roepen ook zoveel beelden op voor de luisteraar dat ik daarbij geen animatie skeletten in kleur hoef te zien of miljoenen krioelende insecten.
In het laatste lied, met een vlammende rode achtergrond (prachtig, Luciano), baadt zanger Peyo zich nog een keer in de lichtbundel, terwijl hij uitroept met een raspend doch veelzeggend stemgeluid: siempre existe una pena. (Altijd bestaat er verdriet).
En vlak voordat ze aan hun terugreis naar Buenos Aires beginnen, vraag ik hem of hij een zoon of dochter heeft. ‘Een zoon!’, roept hij stralend: ‘Franscisco’
‘Ah, Paco’, zeg ik en feliciteer hem. We blijken collega’s, hij is ook trombonist… (Kon ook niet anders, zove - Jazz Podium, on line, Nederlands
ENTREVISTA A JULIAN PERALTA
Tanguero de ruptura
Hoy al frente del grupo Astillero, este joven pianista que cofundó la orquesta Fernández Fierro es un gran referente del tango actual. Además, es investigador y docente. Por: Federico Monjeau
ILUMINACION UN DIA, PERALTA DESCUBRIO QUE EL TANGO TENIA LA CALIDAD DEL JAZZ DE COUNT BASIE.
El pianista y compositor Julián Peralta es una referencia central del tango actual, no sólo por su actividad artística al frente del grupo Astillero -fue además fundador de las orquestas típicas Fernández Fierro y Cerda Negra-, sino también por su pasión pedagógica. Este segundo rubro incluye no sólo clases de materias técnicas en la Escuela de Música Popular de Avellaneda y otros institutos, como también la autoría de un tratado técnico del tango orquestal: La Orquesta Típica. Mecánica y aplicación de los fundamentos técnicos del tango.
Peralta nació en Quilmes en 1974 y arribó a los estudios musicales formales tardíamente. Interesado sobre todo en el jazz, empezó a estudiar piano en forma sistemática a los 19 años. Poco después, en un casete de compilados adquirido en una oferta, escuchó el tango Ojos negros por la Orquesta de Troilo, y su mente dio un giro. "Hasta el momento había oído el tango como el fondo de una película que era la vida en la casa de mi abuelo, en radios chiquitas, en medio de las carreras y el fútbol. Cuando lo empecé a oír como quien escucha música, dije: Esto es tan bueno como Ellington y Count Basie, y encima tan a mano".
Su libro realiza un exhaustivo recorrido por la historia de la orquesta típica. ¿No le parece que el tango orquestal se estancó a fines de los años '50?
Sí, pero creo que ese estancamiento no sólo tiene que ver con la orquesta, sino con la cuestión económica y social. En lo que respecta a la orquesta, no es la estructura musical más dinámica. Más creativos son los grupos chicos. La orquesta plasma una identidad ya asumida. En una orquesta no entraban las búsquedas de Piazzolla o Rovira.
Si tuviese que elegir cuatro grandes orquestas de los '40...
Sin dudarlo: Troilo, Pugliese, Di Sarli y D'Arienzo. Y además la de Gobbi, con lo poco que duró. Más acá, la de Salgán.
¿Ellas son complementarias, en el sentido de que cada una representa algo diferente de las otras?
Sí, incluso a nivel de identidad social. Pugliese representa la bronca, una orquesta que se compromete gestualmente. A mi modo de ver, hay dos maneras de encarar la música en el tango: uno puede hacer música como una voz en off, o como un narrador comprometido con la situación que está viviendo. Pugliese pone la transpiración cuando toca. No pasa lo mismo con Di Sarli. Es una voz en off, a nadie se le mueve un pelo. La orquesta de Troilo es una voz en off, hasta que llegan los solos de Troilo. Otras representan la picardía, como la de D'Arienzo, y un humor más simple, si se quiere.
¿El instrumento del director ¿define el estilo de una orquesta?
Efectivamente. Las orquestas dirigidas por pianistas son rítmicas, y las dirigidas por violinistas o bandoneonistas, cantabiles. La excepción es D'Arienzo, que era violinista y su orquesta no era melódica. Pero él no era muy buen violinista, y en un momento dejó de tocar el instrumento.
Actualmente vivimos una época revisionista, en la que los músicos jóvenes están abocados al estilo del pasado. ¿Es una era conservadora?
Hay, sin duda, una tendencia revisionista. Si se la toma como un fin, es una porquería; si se la toma como un medio, es válido. Si conocer la música del '40 es un medio para dar la pelea de fondo, está bien.
¿Cuál es la pelea de fondo?
Hacer música nueva. Vida mía no me sirve para decir nada. Es un tango maravilloso (lo entona), pero yo no soy Vida mía....
Su disco con Astillero se llama "Tango de ruptura". ¿Con qué rompen?
Nos llevó un tiempo definir el término. Las palabras "nuevo" o "moderno" no son las más gratas, y menos con relación al tango. Quisimos reflejar un ideal de ruptura: con el vibrato del cantor, con el concepto de voz en off; con un tempo cristalizado de "negra 90 a 120"; con la forma en parte A y parte B, aunque por supuesto no somos los primeros y ya lo hizo Pugliese en La yumba.
- Clarin www.clarin.com.ar
EL CENTRO CULTURAL TORQUATO TASSO
Tango que me hiciste bien
El músico Julián Peralta presenta su libro sobre técnicas para la práctica e investigación del tango junto a la orquesta Astillero, una vanguardista propuesta de la que forma parte.
22.07.2008
Astillero será la coronación de la presentación del libro "La Orquesta Típica. Mecánica y aplicación de los fundamentos del tango", de Julián Peralta.
A pesar de su juventud, Julián Peralta lleva un apreciable recorrido en el mundo del tango: a sus 34 años, es pianista, compositor y docente especializado en este género popular. Fue el fundador y director de la Orquesta Típica Fernández Fierro, la Orquesta Típica Cerda Negra y, actualmente, integra Astillero, un grupo con una interesante propuesta con quien este miércoles actuará en la presentación de su libro, “La Orquesta Típica". Mecánica y aplicación de los fundamentos del tango, en el Centro Cultural Torquato Tasso.
El libro, que contiene más de 400 ejemplos musicales ilustrados y se divide en dos partes, llega para cubrir un vacío en el estudio del tango, explicando y exponiendo los recursos técnicos para su práctica e investigación. En la primera, da detalles de los fundamentos de la música de Buenos Aires y, en la segunda, organiza y guía el trabajo para llevar adelante orquestaciones y arreglos.
La idea de Peralta es festejar la creación, algo que quiere realizar también en esta presentación. Es que Astillero no es una orquesta más. La calidad de sus composiciones y la personalidad de los intérpretes a la hora de poner en escena su música como la cuidada estética visual, la hacen un referente en el tango de vanguardia del panorama actual.
Nace a mediados de 2005 con el objetivo de devolver a este género a su lugar original, la cultura popular rioplatense, y es una propuesta integral que se completa con su Escuela de Tango (Centro de Desarrollo del Tango y la Cultura Rioplatense) y la milonga que funciona los días jueves en Independencia 572, en el barrio de San Telmo.
Luego de su exitosa gira por Europa, por ciudades como Madrid, París, Londres, Copenhague, Zurich, Viena y Hamburgo, la orquesta vuelve a presentarse en Buenos Aires. A fines de este año, prevé la salida del segundo disco con 13 nuevas composiciones y la participación del Maestro Leopoldo Federico. El primero lleva el nombre de "Tango de Astillero".
También del 21 de enero al 29 de marzo, la orquesta formará parte del clásico de Shakespeare Romeo y Julieta que subirá a escena en el Teatro Wilton´s Music Hall de Londres con el patrocinio y asesoramiento del actor y director Kenneth Branagh. La obra cuenta con la dirección de Ed Hughes y la música de Astillero, interpretada en vivo.
La producción une el texto con el violento tango de la orquesta. Los siete músicos llegan a un teatro en ruinas y a través de su música infunden vida a la historia, guiando a los desafortunados amantes hacia su inevitable y esperada muerte. La música se entrelazará con las acciones de la obra y el texto en inglés.
Por lo pronto, se puede disfrutar aquí y mañana miércoles 23 de julio, desde las 21.30, en el Centro Cultural Torquato Tasso. (Defensa 1575). Ciudad Autónoma de Buenos Aires. - Cronica digital
« Uniquement de l’original, du frais, du pur produit de l’ici et du maintenant. Astillero c’est un peu Bartok avec des bandonéons, Stravinsky qui aurait vraiment compris ce qu’est le tango. De l’énergie brute et maîtrisée qui ramponne. L’absence de repère mélodique entraîne le spectateur dans un dédale poétique où la seule alternative est de s’accorder à la force qui vous traverse. C’est un groupe de Lanus, des quartiers pauvres, avec cette ferveur, cette chaleur et cette sincérité débordante des fans de petits clubs de foot. Probablement Astillero ne sera jamais célèbre. Ils sont trop radicaux, trop intransigeants, trop sincères pour ça. C’est une bonne raison pour les aimer. » Marc Tommasi. Dec 2006. http://letangosecorse.canalblog.com - http://letangosecorse.canalblog.com
ORQUESTA EL ASTILLERO EN PRAGA.
La orquesta Astillero trajo a Praga el tango ardiente y crudo del Buenos Aires contemporáneo. Con un sonido más ácido y violento de lo que el público checo está acostumbrado, los músicos argentinos encantaron al auditorio que repletó el Teatro de los Estamentos.
“Haber tocado en una sala donde Mozart estrenó Don Giovanni ha sido un placer,” dijo el líder y pianista de la orquesta Astillero, Julián Peralta, tras el concierto, que tuvo lugar el pasado domingo en el marco del festival ‘Cuerdas de Otoño'.
Astillero asumió el tango como propio en los años 90 dándole un nuevo sonido para reflejar el día a día de Buenos Aires, según cuenta Julián Peralta.
“¿Qué es lo que nos asemeja a compositores como Villoldo, Troilo, Pugliese o como Piazzolla? Estoy hablando de un compositor que es del 1900, el otro del 30, otro del 60, otro del 80. ¿Qué tenemos en común? Y uno empieza a buscar. ¿Las letras? No. ¿Los acordes? No. ¿El ritmo? Sí, un poco, pero hay temas que no tiene nada que ver una cosa con otra y, sin embargo, es tango. ¿La instrumentación? Tampoco. Lo que realmente lo une es una manera de pensar. El tango es una manera de vivir, como una filosofía que es la celebración del vivir, del ser. Pero no es una celebración tonta, que uno celebra porque celebra: Ah, bueno, estamos, festejemos. Es una celebración con mucha conciencia de la muerte.”
Los músicos de Astillero tocaron en Praga temas de su primer disco ‘Tango de Ruptura' y sobre todo del segundo titulado ‘Sin descanso en Bratislava'. Julián Peralta explica por qué el álbum lleva el nombre de la capital eslovaca.
“Fue muy gracioso. Nosotros fuimos a tocar a Gyor (Hungría), hace un año y medio, que fue cuando estuvimos grabando el disco. Y estamos en una gira como ésta, que uno no para de girar, que nosotros mañana nos tenemos que ir. Pasó que bajamos con el avión en el aeropuerto de Bratislava, para seguir a Gyor. Ni conocimos Bratislava. Ese disco refleja ese esfuerzo que hacemos. Además hemos quedado muy impactados por la cultura del Este europeo, somos medio fanáticos porque el Este tiene una manera de vivir bastante más cercana a Buenos Aires, que tal vez es otra ciudad de Europa.”
El concierto de Astillero fue acompañado por videoproyecciones que ofrecen una nueva lectura de la música y las letras. A la vez, el montaje ayuda a golpear un poco más al oyente, según señala Julián Peralta.
“Por ejemplo, poner al Gran Dictador, a Chaplin, en el video, por un lado es gracioso y por otro serio. Hace 60 años que se hizo esa película y, sin embargo, hoy sigue teniendo una gran cantidad de polenta. Y es eso mismo, es darse cuenta, ¡a la Pipetuá! Y la letra habla de una especie de dictador que es uno mismo prohibiéndose cosas.”
Desde Praga Astillero se trasladó a Holanda para proseguir su gira y mostrar al público europeo cómo disfruta y cómo le duele su ciudad, Buenos Aires.
foto: Petra Hajská, www.strunypodzimu.cz
Nota publicada en: RADIO PRAHA
Link: http://www.radio.cz/es/art iculo/122369 - www.puntotango.com.ar
Bajo el lema “Jazz, clásicos de la música, tradición, experimentos”, el festival Cuerdas de Otoño trae a Praga a los mejores músicos del mundo que debutan ante el público checo, y estrena nuevos proyectos musicales. El programa de la XIV edición incluye diez conciertos, cada uno de distinto género musical.
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Cassandra Wilson
La cantante de jazz estadounidense, Cassandra Wilson, es probablemente la mayor estrella de la presente edición del festival Cuerdas de Otoño. La dueña de una voz de contralto de terciopelo presentará en Praga su disco ‘Loverly’, que fue premiado en febrero como el mejor álbum de jazz vocal.
Una vivencia profunda debería ser el concierto del virtuoso israelí, Gil Shaham, promete el director artístico del festival, Marek Vrabec.
Gil Shaham
“Él vive en EE.UU., sus padres son excelentes científicos. Gil Shaham es uno de los mejores intérpretes de la obra de Johann Sebastian Bach. Su violín Stradivarius sonará en el espacio mágico de la iglesia de Santa Ana en la Ciudad Pequeña de Praga. El público escuchará suites y partitas para violín solo de Bach”.
También de América, pero del Sur, vendrá a la capital checa la orquesta Astillero con el tango nuevo de Buenos Aires, que sigue el legado de Astor Piazzolla.
Orquesta Astillero
El género de música étnica estará representado por un concierto inspirado en la película suiza ‘Sonidos de la patria’ (‘Heimatklänge’), según cuenta Marek Vrabec.
“La película me entusiasmó. Trata de tres músicos que están arraigados en el paisaje alpino y trabajan de una manera innovadora con los sonidos que salen del yodel, una forma de canto de los Alpes. Creo que nuestro concierto será igual de arrebatador que el filme. Será la primera vez que sus protagonistas Erika Stucky, Noldi Alder y Christian Zehnder cantarán juntos en un escenario”.
‘Sonidos de la patria’
Cada año el festival Cuerdas de Otoño dedica atención a la interpretación de la música antigua en instrumentos auténticos de la época. Esta vez ofrecerá el proyecto 415 versus 442. El título simboliza el conflicto entre dos interpretaciones musicales, explica el director artístico del festival, Marek Vrabec.
“A 415 hercios se afinan los instrumentos antiguos, a 442 hercios se suelen afinar los instrumentos en la actualidad. Los músicos de estos dos campos habitualmente no comunican entre sí, se miran de reojo y no se entienden. Nosotros escenificamos cierta confrontación, un duelo, donde el oyente tendrá la oportunidad de comparar inmediatamente, uno tras otro, los dos estilos, en interpretación de los mejores músicos de toda Europa”.
Ondrej Pivec
En la sección Spotlight los organizadores suelen presentar a un talentoso músico joven. Este año será el organista de jazz checo, Ondrej Pivec. Su cuarteto Organic Quartet tocará junto con la orquesta de viento Bucinatores.
El festival Cuerdas de Otoño culminará el 20 de noviembre. Tras La Scala de Milán y Royal Albert Hall de Londres, la sala de conciertos Rudolfinum de Praga escuchará en vivo la música emotiva del compositor y pianista italiano, Ludovico Einaudi. - www.radio.cz
http://www.lanacion.com.ar/nota.asp?nota_id=1042045
El festival se sigue mostrando como un espacio de tolerancia entre el aficionado tradicional y el nuevo público medio. Chicos de veintipico que husmean por Harrods tratando de entender qué es lo que cautivó a sus abuelos, padres y turistas. Pasean por un decorado de antaño, arañas vintage, mobiliario de época, locales con zapatos y ropa para bailar. ¿Qué tiene el tango de especial?, se preguntan los jóvenes con un gesto de incógnita dibujado en el rostro. Hasta que algo los sacude. Y eso que los sacude se puede llamar Astillero, la propuesta del joven director y pianista Julián Peralta, ex integrante de la Orquesta Típica Fernández Fierro.
El grupo maneja códigos generacionales más fáciles de asimilar para el oído neófito de tango. Primero aparece Alfredo Casero, haciendo uno de sus clásicos morcilleos y logrando algunas verdades tangenciales que aparecen en el tango por estos días: "La otra vez me crucé con un dinamarqués y lo primero que me preguntó era sobre tango y sobre mi equipo de fútbol".
Los veteranos miran el delirio de Casero con desconfianza pero se quedan y hasta se ríen con su extraño monólogo sobre la porteñidad.
Julián Peralta aparece en escena con su sexteto (una formación atípica para una típica) y marca la cancha con su concepto sonoro de ruptura. Lo más sobresaliente de su búsqueda es la tormentosa sonoridad del grupo.
La violencia sónica de Astillero es una realidad tan contundente como el ataque de las cuerdas y los fueyes. Tan contundente y real como la voz de Peyo, un cronista suburbano que recuerda más al Indio Solari que a los cantores de típica en temas como "Capataz". En esas composiciones nuevas, algunas instrumentales y otras con letra, aparece un tango descarnado y poco complaciente. No está el romanticismo del ayer, y el reloj del tiempo parece avanzar lentamente, como en una fábrica. Astillero tiene una pulsación casi maquinal, cada instrumentista avanza sobre la música como si fuera parte de un pesado engranaje y se acelera de acuerdo con el tempo que marca el director de orquesta. La atmósfera urbana de su música impregna el ambiente. Astillero suena real: suficiente para convencer al veterano y al nuevo aficionado, que quiere saber de qué se trata el tango actual.
Gabriel Plaza - La Nacion - newspaper Buenos Aires
Astillero Tango (Argentina)
Tirsdag den 4. november, kl. 20.00
Et magisk møde med det argentinske samfund gennem unge tangomusikere
I har tirsdag d. 4 november mulighed for at få et unikt indblik i en musikgenre, en livsstil, en historie, som lige nu udspiller sig langt fra vores nordlige himmelstrøg. Global tilbyder sammen med tangoorkestret Astillero en eftermiddag, som byder på oplæg om den "nye unge tango" i Buenos Aires efterfulgt af en koncert med Astillero – et prominent argentinsk tangoorkester som repræsentant for den unge generationen af tangomusikere i dagens Buenos Aires. Efter koncerten vil der være mulighed for at stille spørgsmål og snakke med orkestermedlemmerne. Enkelte af dem taler engelsk og ellers spansk, så der vil være god mulighed for at afprøve de spanske sprogfærdigheder såfremt disse haves.
Tangoen opstod i slutningen af nittenhundredetallet, og var op til starten af 1970'erne en populærmusik og –dans i den argentinske hovedstad. I 1976-83 styredes Argentina af et militærdiktatur, hvilket pga. af stærk censur sammen med rockens indtog verden over var væsentlige årsager til, at tangoen næsten forsvandt i en årrække. Først i midten af halvfemserne fik den sin renæssance, da en ny generation af unge argentinere begyndte at udforske musikken.
Men hvad får unge argentinere, som er vokset om med The Beatles og The Doors til at begynde at spille musik, som deres bedsteforældre og oldeforældre lyttede til? Hvad får dem til hver søndag at stille sig op på markedet og spille i 7 timer året rundt? Hvad er tango egentligt? Hvad er forskellen på den tango, som blev spillet i 1920 og den tango, som Astillero spiller?
Astillero har været med fra tangonybølgens begyndelse. Gennem oplæg og efterfølgende koncert vil I få et bedre billede af, hvordan tangoen i dag for de, som spiller den dels er et kunstnerisk udtryk; dels er en politisk og ideologisk reaktion på et liv i et samfund med kaotiske politiske strukturer og tilbagevendende økonomiske kriser.
<!--[if !vml]--><!--[endif]-->Astillero er et syvmandsorkester, som har eksisteret siden 2005 og består af musikere fra Buenos Aires. Orkestret er netop nu i færd med at lægge sidste hånd på deres anden CD, som de præsenterer på dette års europa-tourné. Vi er så heldige, at Astillero har besluttet at besøge Køben-havn og vi håber, at I er interesserede i at møde dem sammen med os.
www.astillerotango.com.ar
- Global Denmark
Discography
- Tango de Astillero, 2006, De Puerto Producciones, Argentina.
- Sin descanso en Bratislava, 2008, De Puerto Producciones, Argentina.
- Registros de Balvanera, 2013. De Puerto Producciones, Argentina.
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Astillero Tango opens the challenge with its music.
The sound of Astillero is forceful, vertiginous, breathtaking, raw yet sophisticated: a rollercoaster ride of throbbing accents modulating into earth-shattering pianissimos and beyond. Yet this wild sound is entirely hand-made, free of any gimmicks, 100% acoustic: the sound of just wood and strings, brought to searing life by an acute sense for translating the experience of 21st century urban life into new music, built on a solid traditional foundation of Buenos Aires' tango.
The orchestra, though featuring the typical instruments of any classic tango ensemble (two bandoneons, violin, piano, cello, double bass, and a singer) is a tango formation that has nothing to do with the 'tango' of our collective conciousness. Astillero proposes a completely new vision of tango, incisive and intense, rough and violent. The sounds of this group are the sounds of Buenos Aires today - the way they play their music reflects the incongruities and madness of this urban jungle; it kicks, breaks, hurts, jumps. Just as the world we live in.
From their all-original compositions, some instrumental, some with lyrics, emerges a tango that is stripped down yet rich and original. The fresh lyrics add to the rawness - a rough but tender voice, that cares and tears at the same time. The concept goes even beyond music, developed further by video images, both poetic and political, projected live to complement the deluge of sound.
The group's young members have been steeped in traditional tango from early on. At the forefront of the recent 'Maquina Tanguera' movement of contemporary tango in Buenos Aires, they have worked with a number of important groups from the scene before forming Astillero in 2005. Years of study and research have also led them to become themselves teachers to the younger generation, through their work with a number of independent organisations and social projects.
Within the last 6 years the group has internationally toured 15 times around the world, passing through many cultures with their tango music in more than 250 concerts. Maybe one of the most important first steps was playing at the Womex (World Music Exposition) at Sevilla 2008. That much-talked-about showcase, grew Astillero to start building a big international following.
The year 2009 then, saw Astillero playing at the Montreal Jazz Festival (Canada), the North Sea Jazz (Rotterdam, Holland) and the London Jazz Festival (UK) in between many other countries and venues (South Korea, France, Rumania, Hungary & USA).
2010 was the year for accomplishing its own personal venue at Buenos Aires, Argentina. The built of the theatre started at zero and was self sustained by the group itself, another orchestra, a theatre group and a bunch of people interested in having an own cultural resistance space, for the development of tango and other riverside arts.
Nevertheless, Astillero started the year at the top of the international league in a very different role, playing Romeo & Juliet, the well known master piece of one of the most historical celebrities of the English culture, Sir William Shakespeare.
Back in Buenos Aires, after finishing their own theatre and playing many nights there, it was time again for another international tour. Astillero toured twice in Europe at the end of that year. Playing at the Cross Culture Festival at Warsaw (Poland) and at the Athens Music Hall (Greece) were real highlights.
2011 started with recordings on studio for the new album and a 20-days-tour around Europe. In between many other venues, the tango group played at the Barbican Centre (at London, UK), after a tour around four cities in Sweden -including the Södra Teatern at Stockholm- and the RNCM Orchestra at Manchester.
2012 european summer awaits for Astillero. Rigas Ritmi Festival (Latvia), Tangopostale (France), Tangowoche (Switzerland), Sines (Portugal), Pirineos Sur (Spain) and Sfinks in Belgium.
Gacetilla prensa 1
Astillero, con sonido áspero, original y contundente, es uno de los nuevos exponentes del tango con mayor repercusión en el exterior.
Desde su fundación en 2005 Astillero se ha presentado en diversos y magníficos escenarios. Entre ellos cabe destacar: Festival de Jazz de Montreal (Canadá), Tropenteater (Amsterdam), North Sea Jazz (Holanda), London Jazz Festival, (Inglaterra), BBC Radio de Londres, VPRO Televisión de Holanda, la Ópera de Praga, EBS Televisión y Ulsan Jazz Festival en Sur Korea. Se presentó también como banda sonora original de Romeo y Julieta con la Colchester Theater Company en Inglaterra. Con más de 200 conciertos realizados en varios continentes desde 2005 a la fecha y varios proyectos en marcha, Astillero se encuentra grabando su tercer trabajo discográfico.
Biografía (Castellano)
La Orquesta Astillero se forma en la ciudad de Buenos Aires a mediados de 2005 con la misión de devolver el tango a su lugar original dentro de
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